Je vous présente ici une série de 25 D.
Plusieurs façons de développer des variations autour de la lettre bâton s'offrent à nous. Décliner différentes approches avec différents paramètres, ces derniers donnant eux-mêmes plusieurs solutions, bref travailler en arborescence est plutôt opérationnel.
Considérer la structure globale : deux éléments, une droite verticale à laquelle s'accroche une courbe concave (1, 1) c'est le cas le plus courant, ou alors une ligne unique qui se casse, se courbe (4, 3), parfois se ferme (4,4), ou ferme une contreforme sur son trajet (5,4).
Considérer les traits : de la ligne fine seule ou des traits pleins associés à des déliés, voire même deux pleins uniquement - la dernière lettre de la série s'en rapproche.
Choisir de superposer les tracés : les 3 premiers D de la dernière ligne sont des superpositions décalées ou bien ajouter un élément (3,2).
Parfois un plein est un espace rempli entre deux lignes (1,1). Des lignes fines définissent des contreformes qui peuvent être entièrement noircies ou accueillir un motif. Ces espaces à motifs peuvent être du trait en matière ou une contreforme animée.
Enfin, ajouter des éléments décoratifs élargit les possibilités: point, traits dépassants, petit carré... Ils vont attirer l'attention, fermer un trait, donner une identité particulière à la lettre...

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